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Message  Arimut Mer 1 Déc - 3:26

J'ai participer au concour hordien... j'ai écris quelque texte possédant les mots hydromel,diable et filandreux.
Enjoy


L’exorcisme
Le prêcheur Arimut venait de terminer son homélie de l’apocalypse, se préparant à servir l’hydromel de cérémonie. Mais tout fût fortement secouer par l’arrivé du Russe, Rakamasove, criant haut et fort que le diable possédait sa femme. Le prêtre calma les citoyens, empoignant son long manteau noir tout rapiécé et son livre d’exorcisme. Il se dirigea aussitôt vers la maison du tenancier d’alcool. Derrière eux, suivait les citoyens apeurés.

Le soleil semblait chaud et fort, asséchant rapidement les alentour de la ville. Même les réserves du puits, devait être compté vigoureusement. Le révérant entra dans la demeure rustique, tenant fortement sa croix en main. L’exorciseur alla directement pour la chambre de la pauvre jeune femme possédé. Elle déblatérait un discours filandreux, à propos de mort qui marche, de jours compté, de survit et de désespoir. Arimut pria le seigneur, essayant d’emmener la lumière et l’amour dans la femme en déraille. Récitant ses psaumes et effectuant ses rituels, la femme devenait que plus déranger, discordante et brûlante. Le russe vint rafraîchir sa femme, lui apposant de l’eau sur le front. L’eau se mit à bouillir au contact de la peau, créant un cri strident. Tous se bouchèrent les oreilles. Là où se tenait le corps de la possédée, une énorme bouillie difforme et sanglante mijotait sur place.

Arimut renvoya tous les citoyens à leur demeure. Ils étaient apeurés, ignorant les prochains évènements. Rakamasove et Arimut burent ensembles, se rassurant l’un et l’autre. Angéla, la femme qui surveillait les remparts, entra dans le pub et vint secouer les deux hommes. Le soleil avait tout brûlé et un désert avait remplacé la verdure extérieure. L’exorciseur et le veuf se rendirent aux portes de la ville afin de constater les dégâts. Le soleil allait maintenant se coucher, mais avec l’horizon rougeâtre, venait un armé. Un armé décadent et assoiffer de sang. Les deux hommes refermèrent aussitôt les grandes portes. La femme saisit un fusil qu’elle avait emplis de la même eau qu’Arimut avait bénit dans la maison du russe. Tous les trois attendirent la tombé de la noirceur, sous les hurlements macabre. Ils regardèrent tout autour priant que les morts n’entrent pas. L’enfer avait commencé.

Debout les morts
Le soleil s’était levé sur un nouveau jour, une nouvelle vie. Les morts-vivants revenaient afin de ce nourrir et ce; à tout les soirs. Le prêtre de lumière Arimut et le barman russe avaient observé les morts durant toute la nuit. Grâce à Angéla, la femme qui surveillait les remparts, les deux hommes avaient refermé les grandes portes de la ville, justes avant l’attaque des zombies. L’invasion venait à peine de commencer que le révérant était déjà fatigué. Puis les morts étaient repartis avec le lever du soleil. Angéla s’était porté volontaire afin d’annoncer aux citoyens les nouvelles règles de sécurité. Elle décida aussi de faire une liste de chantier à faire et les ressources que nous devons disposer pour mettre cela en place. Rakamasove alla se vautré dans l’alcool, ouvrant toute les bouteilles d’hydromel, jusqu'à ce qu’Angéla ou le révérant, lui demande de l’aide.

Le prêtre avait un très mauvais présage. Le diable pouvait donc marcher sur terre. Il devait y avoir une raison, une épreuve que dieu voulais leur inculper. Puis la lumière le frappa, l’entraide deviendrais le seul outil de survit de l’humanité. Le fils de dieu avait souffert sur la croix, maintenant, dieu demandais le paiement. Comme une illumination, Arimut vît des citoyens se rassembler, afin de partir en expédition. Ils voulaient pouvoir faire leur pare en cherchant les ressources et les subsistances pour la ville. Lorsque Rakamasove sortis de la taverne, avec un fusil à pile, Arimut entreprit l’aventure lui aussi. Ils accompagnèrent le groupe dans le désert extérieur.
Quelque zombie se tenait à différent endroit. Mais le groupe purent les détournés facilement. Ils déterrèrent les ressources puis se dépêchèrent de se rendre en ville. Mais Angéla vint les rejoindre, leur indiquant que les citoyens avaient décidé de ne pas croire à la fin du monde, qu’ils laisseraient les portes ouvertes qu’importe qui se tiendraient dans le chemin. Le petit groupe attendit la tombé de la nuit puis se sauvèrent de la ville. Arimut pria pour les corps qui se faisaient décapité et dévoré. La ville était maintenant anéantie par les cries de souffrance et la victoire des morts qui mangeaient leurs repas filandreux. Parmi les échos de l’agonie, le petit groupe se sauvait vers les contrées éloigné, espérant avoir un meilleur repos. Les morts avaient envahis la ville sans jamais se soucier des survivants.

Armageddon
Un groupe d’une dizaine de personne venait d’atteindre une ville éloignée. Les citoyens laissèrent entrer les survivants. Le soleil avait frappé toute la journée. La citoyenne Cédrika vint porter de l’eau pour le groupe. Un homme se leva, son long manteau noir flottant au vent. Cédrika le regardant, voyant un halo de lumière autour de l’être. Arimut, l’homme au long manteau, se présenta comme étant un homme de foi. Un russe se présenta un peu rudement, vérifiant que ses bouteilles d’alcool étaient intactes. Puis une femme se présenta comme une chef de chantier, Angéla. Les trois individus semblaient être à la tête du petit groupe de survivant.

Les conversations n’allaient pas bon train, la nuit arrivait et Angéla voulait vérifier les fortifications. Rakamasove fit une expédition rapide afin de trouver plus d’alcool. Puis Arimut gardait un œil sur l’horizon. Cédrika tentait d’arranger son filandreux vêtements afin d’avoir l’air un peu plus attirante, mais le prêtre ne lui portait aucunement une attention. L’horizon semblait démontrer un mur de feu, se dirigeant vers la ville. Rakamasove poussait un diable avec plusieurs caisses d’hydromel, trouvé dans le désert. Il semblait effrayé, interpellant Angéla et le prêtre. Des morts en flammes le suivaient de près. Angéla tenta de refermer les portes, l’attaque avait été devancée de leurs heures habituelles. Mais les grandes portes ne semblaient pas vraiment solides. Les remparts et les murailles autour de la ville s’effondrèrent. Arimut tomba de haut, se fracassant la tête sur le sol, perdant conscience. Cédrika courût vers lui, recevant peu de temps après, les débris et fût enterrer vivante. Rakamasove se barricada dans une maison. Angéla se cacha dans le puits.

Les morts de feu se faufilaient dans la ville, dévorant et lacérant les malheureux citoyens qui n’avait pas vue venir l’attaque soudaine. L’Armageddon venait de frappé directement sur la fin du monde. Le mal ravageait les terres et la vie cessait d’existé. Les morts moururent de leurs flammes, réduits en cendre. Les larmes et les crie de désespoir des survivant semblait très peu nombreux. Mais ils devaient attendre le lever du soleil, ne sait-on jamais ce que les ténèbres nous réservait.

Phénix
La ville venait d’être attaquer par une horde de mort-vivants en flamme. Les remparts et les murailles de la ville étaient tombés et partiellement détruit. L’attaque avait eu lieu plus tôt qu’à l’habituelle. Plusieurs morts étaient à déclarés et détruire. Le soleil venait de se lever, apportant un vent chaud et sec. Rakamasove se débarricada de la maisonnette et Angéla sortis du puits. Ils firent un tour d’horizon, voyant le corps du prêtre de lumière. Cédrika lui tenait la main, sortant à peine de sous les débris.

Rakamasove ouvrit une bouteille d’hydromel, servant un verre et le présentant au prêtre inconscient. Arimut ouvrit les yeux péniblement, regardant tout autour de lui, priant aussitôt le seigneur de lui avoir épargné la vie. Cédrika eu un léger sourire qui se dessina sur ses lèvres. Mais Arimut ne la regardait pas. Angéla repris la ville en charge, ordonnant ses pensées, afin de ne pas faire un discours filandreux. En comptant tout le monde, une quarantaine de personnes avait survécus. Ils durent se remettre au travail, afin de reconstruire ce qui avait été détruit.

Arimut s’assoyais aux portes de la ville, toujours en observant le désert devant lui. Dieu ne voulait rien leur apprendre, c’est le diable qui avait prit en charge leurs destiné. Le prêtre ne voulait pas laisser la bête gagner de cette façon. Arimut commençait à avoir un petit creux dans l’estomac. Il décida de se promené en ville, afin de faire des recherches. Le révérant en profita pour se nourrir d’un rôti de porc qu’il trouva dans une maison. Le goût semblait étrange, mais il mangea tout de même. Sur une carte, il nota un endroit qu’il nomma les enfers. Il devait se rendre en enfer. Là ou le diable se tenait debout. Il devait détruire l’origine du mal, afin de libéré les citoyens du monde entier. Puis Arimut regarda la carte, de plus en plus prêt, réalisant qu’il avait noté ou la ville se situait. Il grimpa aussitôt sur le point le plus haut de la ville, vérifiant ses calcules. Il dû attirer l’attention de tous afin de leur apprendre la triste nouvelle. La boite de pandore avait été ouverte, ici même, dans cette ville. Le pandémonium était sous leurs pieds, ils allaient tous mourir s’ils ne s’organisaient pas. Mais le prêtre n’avait qu’une chose en tête, trouver le cœur de la ville et le détruire. Arimut ne se sentais pas très bien. La nuit prenait maintenant place. L’enfer allait recommencer.


Pandémonium
L’attaque de mort-vivant venait de terminer, le soleil se pointait le nez. Cédrika se promenait nu, en ville. Mais le prêtre passa prêt d’elle, la saluant du regard. Il semblait ne pas voir les attraits sexuels, qu’elle voulait lui offrir. Offusquer, elle se dirigea vers la banque, prenant le petit manche vibrant. Si la lumière ne la voyait pas, elle prendrait le diable par la queue et s’offrirai le plaisir elle-même.

Arimut avait des gargouillements à l’estomac, se demandant ce qui se passait. Cela faisait une semaine qu’il ne pouvait rien manger sans être malade. Il rejetait un liquide blanchâtre à chaque bouchée qu’il prenait. Rakamasove lui avait donné plusieurs verre d’hydromel, mais cela n’avais que empiré le problème. Le révérant avait l’impression que ses entrailles allait exploser. Il vomit une substance visqueuse et sanglante. Angéla arriva, voyant que l’être de lumière n’allait pas bien. Angéla était une femme qui s’occupait des chantiers. Elle s’inquiétait pour lui. Arimut lui indiqua le mal qu’il ressentait s’insinuer en lui. Ses entrailles semblaient se tordre de l’intérieur. La femme porta l’homme de foi dans son taudis, puis lui ordonna de se reposer. Angéla avait remarqué que les paroles du prêtre devenait filandreux et compliquer à entendre.

Le révérant observait sa maison entreprenant d’écrire aux amis qu’il avait en pandémonium. Nul ne savait ce qui se produisait, mais Arimut avait une idée. Lorsqu’il regardait Angéla, il fût surpris de connaître le flux sanguin qu’elle produisait. Il devenait un démon. Vivant dans la vérité, il remettait son sort entre les mains de ses amis. Il termina l’écriture d’une dizaine de lettres, puis se prépara à les distribuer. Il trouva une note sur sa porte. Le nom de Cédrika était écris. Le prêtre haussa les épaules, faisant le tour de la ville afin de distribuer les lettres avant qu’il ne soit trop tard. Alors qu’il retournait chez lui, il entendit des protestations. Angéla avait préparé une potence. Elle accusait Cédrika d’avoir voler en banque. Arimut s’interposa, essayant de faire un discours pour sauvé l’accusée. Angéla accorda son pardon, rangeant sa lettre dans sa poche. Elle lui fit un clin d’œil en s’approchant et lui chuchota ; Chez Rakamasove. Elle lui ordonnait de suivre le cours des évènements. Un démon contre des démons, tel était la nouvelle devise. Il pouvait enfin se nourrir.

Goulasch
Le révérant Arimut venait à peine de terminer un discours filandreux, afin de sauver Cédrika de la pendaison. Le vieille homme de foi se dirigeais vers son taudis lorsqu’il dû arrêter sa course. Son ventre semblait se tordre, lui arrachant des plaintes de douleur. Ses entrailles ne semblaient pas s’être rassasiées du melon qu’il avait avalé. Le prêtre se plia en deux, afin de faire passer le mal, mais sans succès. Recourber au dessus du sol, le révérant cracha une matière horriblement gluante. Arimut s’essuya les lèvres avec le revers de son long manteau noir, regardant autour de lui à la recherche d’un témoin ou d’une aide quelconque. Personne ne semblait se soucier de lui, les citoyens étaient tous occuper à démonter la potence et le taudis de Cédrika. Cette dernière avait été sauvée par la foi et se gavait maintenant d’hydromel à la taverne de Rakamasove. Crachant une autre fois au sol, le prêtre changea sa route, allant directement dans le pub improvisé. L’homme de foi avait une histoire avancé. Homme d’expérience dans la guerre contre les morts-vivants, ils s’étaient entourés de très bons amis. Ils voyageaient de ville en ville, afin d’aider et de trouver la cause de carnage. Arimut entra dans le pub, s’assoyant près de Cédrika. Le barman Rakamasove servit un cocktail au vieux révérant.

Rakamasove était un russe, voyageant avec l’homme de foi depuis le début de l’invasion. Arimut glissa un bout de papier dans la bouteille de vodka que le barman gardait à sa main. Ce dernier regarda les yeux du révérant, puis se reclus afin de lire la lettre du prêtre. Le révérant avait écrits et distribuer ses lettres durant la matinée, puis s’étais mêlé au procès de celle qui avait volé en banque. Cédrika souriait au prêtre, elle avait toujours essayé de le séduire depuis son arrivé. Elle s’approcha du vieil homme d’une démarche sensuel. Arimut l’a regardait, ressentant le diable s’emparé de lui. Le révérant se leva, s’approchant de la femme, lui ouvrant enfin ses bras. Depuis des jours et des semaines qu’elle attendait ce moment avec impatience. Se regardant les yeux dans les yeux, les deux êtres s’attiraient ardemment. Les bouches s’ouvrèrent pour un échange langoureux. Arimut émit un grognement et prit une bouché dans le corps de la voleuse, se nourrissant de la chair fraîche. Rakamasove observa la scène, vidant sa bouteille d’alcool.
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